les souvenirs et les pensées de Roger Bernard...
fragile!! tout en vers!!....
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Amis, ne riez pas! Je souffre atrocement.
Et ceci, pour vous plaire, j'écris pour tout le temps
Des rimes et quelques vers qui tombent justement.
Comme je n'ai pas appris, je m'épuise à chercher,
Et même dans la grammaire l'accord du verbe aimer
Le souvenir lointain d'une vieille dictée.
Heureusement pour moi, la plume a disparu;
Aucune tache à craindre, pas d'accroc imprévu;
Autant de petites choses qui font perdre des points.
Mais mon texte s'expose malgré quelques pépins.
Je n'ai pas eu de gloire, seulement quelques bons points;
Alors j'écris toujours, même si ce n'est pas bien.
Chez moi, pas de copie, ni même de tricherie.
Je ne serai jamais un copieur amoindri.
A quoi bon regarder sur les pages d'un autre?
Si on sait bien écrire en faisant quelques fautes?
Il vaut mieux vaincre seul la vilaine dictée,
Même si le cahier, de fautes est inondé.
J'ai bien quelques dépits pour la concupiscence,
Des maîtres et des récits qui cachent la connaissance.
Certains ont l'écriture bien fine et déliée
Quand d'autres ont dans leur tête tant de capacités!
Il y a de bons maîtres qui voient au fond de vous,
Et d'autres plus sinistres que ces futilités!
Ils ont un grand savoir pourtant bien loin de tout.
Dans leur petit cerveau, se cache une bonté.
la Belette-en-souffrance * lundi 25 juillet 2016 * Paris.
Commentaires textes : Écrire
le bon chat et ses confrères....
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Je suis un chat de cimetière.
Ici, j'ai beaucoup de confrères.
Mais comme chacun reste chez lui,
Il n'y a pas d'bagarre ici!
Bien avant, j'avais la bell' vie,
Ne relevais aucun défi;
Nourri, gavé et caressé
De la queue jusqu'au bout du nez,
Par mes bien chers petits vieux
Qui demeuraient toujours chez eux!
Ils m'offraient des colifichets,
Des p'tits colliers et puis du lait,
Des bibelots et des grelots,
Je préférais ronger des os!
J'avais une souris mécanique
Qui faisait un peu de musique
Quelque part perdue sous l'buffet
Où j'recevais des coups d'balai!
Mais depuis l'temps où j'vis chez eux,
J'ai aussi pris un p'tit coup d'vieux!
On me mène chez l'vétérinaire,
Je suis trop gras, trop en colère!
Tout comme Garfield à la télé,
Qui n'arrête pas de s'empifrer....
Mes vieux sont morts et enterrés,
Je ne veux pas les oublier.
Comm' personne ne veut plus de moi,
Je n'ai plus de logis de roi.
Je ne veux point quitter mes pairs;
Alors, moi j'erre dans le cim'tière.
Je vois beaucoup de monde partout,
Des chats, des chiens, de beaux matous!
Tous doivent bien co-habiter,
Comme des clochards abandonnés.
On se débrouille comme on peut,
On connait bien ce triste lieu!
Des souris trottent dans mon quartier,
Souvent je dois en attraper.
Mais les chiens vont encore plus loin,
Courant toujours, mourrant de faim.
On boit de l'eau dans les pots d'fleurs,
On a ainsi de la douceur.
On boit aussi à la fontaine,
Près du tombeau de Philomène.
Les passants nous donn'à manger
Des petites boîtes de pâtée!
Ce sont de bonnes âmes amies
Qui visitent leurs tombes fleuries.
Ils n'oublient pas leurs chers amis
Hélas qui ont perdu la vie!
Nous, les chats de ce cimetière,
Nous sommes contents de nos amis.
Nous avons là un bon repaire.
Mais se nourrir, reste un défi....
Ici, j'ai beaucoup de confrères.
Mais comme chacun reste chez lui,
Il n'y a pas d'bagarre ici!
Bien avant, j'avais la bell' vie,
Ne relevais aucun défi;
Nourri, gavé et caressé
De la queue jusqu'au bout du nez,
Par mes bien chers petits vieux
Qui demeuraient toujours chez eux!
Ils m'offraient des colifichets,
Des p'tits colliers et puis du lait,
Des bibelots et des grelots,
Je préférais ronger des os!
J'avais une souris mécanique
Qui faisait un peu de musique
Quelque part perdue sous l'buffet
Où j'recevais des coups d'balai!
Mais depuis l'temps où j'vis chez eux,
J'ai aussi pris un p'tit coup d'vieux!
On me mène chez l'vétérinaire,
Je suis trop gras, trop en colère!
Tout comme Garfield à la télé,
Qui n'arrête pas de s'empifrer....
Mes vieux sont morts et enterrés,
Je ne veux pas les oublier.
Comm' personne ne veut plus de moi,
Je n'ai plus de logis de roi.
Je ne veux point quitter mes pairs;
Alors, moi j'erre dans le cim'tière.
Je vois beaucoup de monde partout,
Des chats, des chiens, de beaux matous!
Tous doivent bien co-habiter,
Comme des clochards abandonnés.
On se débrouille comme on peut,
On connait bien ce triste lieu!
Des souris trottent dans mon quartier,
Souvent je dois en attraper.
Mais les chiens vont encore plus loin,
Courant toujours, mourrant de faim.
On boit de l'eau dans les pots d'fleurs,
On a ainsi de la douceur.
On boit aussi à la fontaine,
Près du tombeau de Philomène.
Les passants nous donn'à manger
Des petites boîtes de pâtée!
Ce sont de bonnes âmes amies
Qui visitent leurs tombes fleuries.
Ils n'oublient pas leurs chers amis
Hélas qui ont perdu la vie!
Nous, les chats de ce cimetière,
Nous sommes contents de nos amis.
Nous avons là un bon repaire.
Mais se nourrir, reste un défi....
la Belette bien féline - mardi 12 juillet 2016 - Paris.
- Commentaires textes : Écrire
bébé a tout cassé l'atelier du sabotier....
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A peine me tenais-je debout
Tout'suite j'ai fait les quat'cents coups!
La grand'personne que j'ai frappée,
C'était ma grand-mère adorée!
Fallait pas que j'me roul' par-terre,
Pas habillé, nu comme un ver.
Alors là, j'ai recontesté,
Puis aussi retapé des pieds.
Ô rien à faire! Le petit ver
A vite été réhabillé....
Plus tard, on a recommencé
Quand j'ai découvert l'atelier
De mon nouvel ami François
Qui faisait des sabots de bois.
J'avais encore jamais vu ça!
Une vraie caverne d'Ali Baba!
On voyait les outils partout;
M'est v' nue l'idée de faire un coup!
C'est v'nu tout seul, sans faire exprès.
J'ai bien fait tout ce qu'il fallait.
Je m'suis caché dans l'atelier;
Avec un marteau, j'ai cassé
Quelques carreauxx qui sont tombés.
C'est alors qu'on m'a découvert,
Entouré de morceaux de verre.
On m'a tout de suite attrapé
Et j'ai reçu une bonn' fessée!!
La punition réglementaire
Quand les parents sont en colère!
J'l'avais sans doute bien méritée
Pour les bêtises de la journée.
On m'en parle encore aujourd'hui
Mais l'atelier est démoli!
J'ai d'aut' histoires à raconter!
Sur ce, j'vais devoir m'arrêter....
Tout'suite j'ai fait les quat'cents coups!
La grand'personne que j'ai frappée,
C'était ma grand-mère adorée!
Fallait pas que j'me roul' par-terre,
Pas habillé, nu comme un ver.
Alors là, j'ai recontesté,
Puis aussi retapé des pieds.
Ô rien à faire! Le petit ver
A vite été réhabillé....
Plus tard, on a recommencé
Quand j'ai découvert l'atelier
De mon nouvel ami François
Qui faisait des sabots de bois.
J'avais encore jamais vu ça!
Une vraie caverne d'Ali Baba!
On voyait les outils partout;
M'est v' nue l'idée de faire un coup!
C'est v'nu tout seul, sans faire exprès.
J'ai bien fait tout ce qu'il fallait.
Je m'suis caché dans l'atelier;
Avec un marteau, j'ai cassé
Quelques carreauxx qui sont tombés.
C'est alors qu'on m'a découvert,
Entouré de morceaux de verre.
On m'a tout de suite attrapé
Et j'ai reçu une bonn' fessée!!
La punition réglementaire
Quand les parents sont en colère!
J'l'avais sans doute bien méritée
Pour les bêtises de la journée.
On m'en parle encore aujourd'hui
Mais l'atelier est démoli!
J'ai d'aut' histoires à raconter!
Sur ce, j'vais devoir m'arrêter....
la Belette destructrice - lundi 11 juillet 2016 - Paris, la Tour des Dames.
- Commentaires textes : Écrire
le brexit.... suite et fin....
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Il en fut toujours ainsi, depuis la bataille de Crécy! Avec, par exemple, la bataille des harengs pendant la guerre de cent ans....
Longtemps après, "ils" ont eu "Maggy"!! Bring me back our money!!! Oui, ce sont d'éternels râleurs, confits dans leurs petits bonheurs. M'est avis que ça va jaser dans les pubs aussi, où ils se bourrent la gueule de whisky!!
Le plus rigolo, ici, c'est l'Ulster, qui a dit "oui".Il veut quitter ses chers amis, tous protestants comme lui. Peut-être encore un "bloody day" pour tous ces cochons d'Anglais!! J'espère qu'ils ne reviendront jamais dans notre Europe ici-bas! Car s'ils s'en disent malheureux, elle fait quand même beaucoup d'heureux.
La vieille Albion traîne sa misère avec la Reine d'Angleterre! "Come on, people, for ever!" Mais il faut croire qu'ils aiment leur misère, non? "Fish and ships......beer and saussages.... everything free in our country!" Si certains veulent s'en aller, j'espère qu'ils ne vont pas nous parasiter!
Voilà déjà quelques années, dans notre pays, qu'ils restent groupés; pas de mélangge avec les étranggers! Comme ils n'ont plus de colonies, ils reviennent envahir notre pays, en habitant dans des coins perdus.
Si vous demandez votre chemin, ils vous envoient toujours plus loin! Ce sont surtout de vieux crampons qui veulent vivre dans leur salon, entre un "pie" et un whisky. Pour faire des fêtes entre amis, ils n'ont plus assez de charbon pour chauffer leurs maisons froides en toutes saisons.
Le coeur de la vieille Angleterre est un ramassis de misères, il n'y a plus rien à faire. Tous leurs chantiers sont démolis, il n'y a plus aucune vie sur tous les docks des "Companies"..
La "City" est un coffre fort où ils conjuguent tous leurs efforts; ce n'est pas le "common people"; ici, c'est plein de grosses bagnoles.
La rancoeur se met en boule et se répand dans la foule de tous ceux qui n'ont pas de boulot et qui traînent dans les bistrots!
Longtemps après, "ils" ont eu "Maggy"!! Bring me back our money!!! Oui, ce sont d'éternels râleurs, confits dans leurs petits bonheurs. M'est avis que ça va jaser dans les pubs aussi, où ils se bourrent la gueule de whisky!!
Le plus rigolo, ici, c'est l'Ulster, qui a dit "oui".Il veut quitter ses chers amis, tous protestants comme lui. Peut-être encore un "bloody day" pour tous ces cochons d'Anglais!! J'espère qu'ils ne reviendront jamais dans notre Europe ici-bas! Car s'ils s'en disent malheureux, elle fait quand même beaucoup d'heureux.
La vieille Albion traîne sa misère avec la Reine d'Angleterre! "Come on, people, for ever!" Mais il faut croire qu'ils aiment leur misère, non? "Fish and ships......beer and saussages.... everything free in our country!" Si certains veulent s'en aller, j'espère qu'ils ne vont pas nous parasiter!
Voilà déjà quelques années, dans notre pays, qu'ils restent groupés; pas de mélangge avec les étranggers! Comme ils n'ont plus de colonies, ils reviennent envahir notre pays, en habitant dans des coins perdus.
Si vous demandez votre chemin, ils vous envoient toujours plus loin! Ce sont surtout de vieux crampons qui veulent vivre dans leur salon, entre un "pie" et un whisky. Pour faire des fêtes entre amis, ils n'ont plus assez de charbon pour chauffer leurs maisons froides en toutes saisons.
Le coeur de la vieille Angleterre est un ramassis de misères, il n'y a plus rien à faire. Tous leurs chantiers sont démolis, il n'y a plus aucune vie sur tous les docks des "Companies"..
La "City" est un coffre fort où ils conjuguent tous leurs efforts; ce n'est pas le "common people"; ici, c'est plein de grosses bagnoles.
La rancoeur se met en boule et se répand dans la foule de tous ceux qui n'ont pas de boulot et qui traînent dans les bistrots!
la Belette anti-anglaise * mardi 5 juillet 2016 * Paris.
- Commentaires textes : Écrire
the brexit....
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Tous les gens de la "perfide Albion" veulent rester dans leur salon. Ils ne veulent pas de l'Europe et ils nous laissent à l'abandon.
"Home sweet home", nous ont-ils dit; vous n'êtes que des abrutis! Laissez-nous tous nos poissons, ainsi que nos oeufs au bacon!
On ne veut pas de vos pays car ici, on a la belle vie. Et gardez tous vos émigrants, on n'en veut plus depuis longtemps. Mais apportez-nous des euros pour qu'on les garde bien au chaud!! Dans les coffres de la City, où tout est beau et bien régi.
On aime bien Boris Johnson même s'il traîne des casseroles.Cameron a tout perdu en voulant pêter plus haut que son cul. Boris voulait être l'élu, mais à le voir, c'est un faux-cul!!
C'est surtout un dégonflé qui ne veut pas se brûler. Il voulait garder les marrons sans se brûler avec le poëlon.
Après ça, il ne reviendra plus. Tant mieux pour nous! Tout est foutu....
"Home sweet home", nous ont-ils dit; vous n'êtes que des abrutis! Laissez-nous tous nos poissons, ainsi que nos oeufs au bacon!
On ne veut pas de vos pays car ici, on a la belle vie. Et gardez tous vos émigrants, on n'en veut plus depuis longtemps. Mais apportez-nous des euros pour qu'on les garde bien au chaud!! Dans les coffres de la City, où tout est beau et bien régi.
On aime bien Boris Johnson même s'il traîne des casseroles.Cameron a tout perdu en voulant pêter plus haut que son cul. Boris voulait être l'élu, mais à le voir, c'est un faux-cul!!
C'est surtout un dégonflé qui ne veut pas se brûler. Il voulait garder les marrons sans se brûler avec le poëlon.
Après ça, il ne reviendra plus. Tant mieux pour nous! Tout est foutu....
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